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Le LHC est un data logger autonome communicant. Accompagné d’une sonde SFP, il forme un point de mesure complet et autonome : pas besoin de génie civil complexe, d’une armoire électrique, ni même d’une alimentation 220V.
Le LHC répond à un besoin d’instrumentation d’eaux souterraines ou d’eaux de surface. Associé à une sonde spécifique, qui permet de mesurer les niveaux d’eau et les températures, le LHC stocke et retransmet les données mesurées. Il est parfaitement adapté aux sites dépourvus d’énergie.
Le LH a deux versions : la version communicante (LHC) et la version muette (LHM). Après l’avoir installée, la version muette réalise ses mesures pendant une période donnée, puis il faudra revenir sur site pour rapatrier les données enregistrées.
La version communicante, en revanche, peut être programmée pour envoyer les données à un intervalle déterminé : toutes les 12 heures, par exemple.
Initialement, le LHC a été développé spécifiquement pour les forages, pour la mesure en eaux souterraines. Sa forme tubulaire allongée s’intègre parfaitement dans les têtes de forage ; sa coupelle, de 8 cm de diamètre, peut s’introduire dans le haut du forage afin que le LHC soit protégé par le capot de ce dernier.
Le LHC peut également servir pour des mesures de niveaux et de températures en milieu naturel, notamment en rivière. Pour cela, il suffit de mettre en œuvre un fourreau en PVC pour y plonger la sonde et d’un tube, ou d’une chainette, pour installer le LHC en surface.
Contrairement à la plupart de ces produits, qui sont en plastique, le corps de notre LHC/LHM est en inox, ce qui le rend bien plus résistant dans le temps.
De plus, notre version communicante (LHC) est un produit à part entière, et ne nécessite donc pas l’ajout d’un module supplémentaire pour l’envoi des données. Cela permet de limiter les connectiques, et donc de limiter les potentielles entrées d’eau, ce qui, une fois encore, améliore la longévité du produit en augmentant sa résistance à l’humidité.
Le plus gros avantage compétitif de PARATRONIC reste l’humain : nos équipes technico-commerciales sont disponibles et très réactives.
Le LHC est l’un des produits les plus simples à installer. Il suffit d’ouvrir le LHC, d’y insérer une carte SIM, de bien le refermer (afin de bénéficier de la garantie IP67 contre l’humidité), de le raccorder avec un cordon universel USB-micro B (comme pour les smartphones) et de le paramétrer à l’aide de notre logiciel libre « IHM capteurs ». Ce logiciel, à télécharger gratuitement sur notre site web, possède trois onglets :
Cette programmation peut s’effectuer en 5 minutes, et votre LHC sera prêt. En termes d’infrastructures, seul un fourreau pour le capteur est nécessaire.
En bref, vous pouvez tout à fait installer votre propre LHC très simplement ! N’hésitez pas à appeler nos équipes en cas de difficultés, elles vous répondront immédiatement.
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Si vous n’avez pas encore acheté la carte SIM pour votre LHC, nous pouvons vous aider !
Une fois sur le site de l’installation, notre logiciel « IHM capteurs » vous permet de lancer un scan des opérateurs disponibles dans la zone. Vous pourrez alors repérer lesquels captent le mieux sur le site de mesures, et ainsi acheter la carte SIM la plus adaptée à votre site.
Le LHC ne requiert pas de maintenance spécifique. Cependant, il est conseillé de passer vérifier son bon fonctionnement à intervalles réguliers. En effet, des facteurs externes peuvent l’affecter : des branches ou embâcles peuvent perturber la mesure, la sonde peut être envasée…
Nous vous recommandons donc de faire un passage préventif tous les six mois environ.
Complètement autonomes, le LHC comme le LHM sont alimentés par leur batterie. Cette dernière, située entre la carte basse (qui gère les mesures) et la carte haute (le réceptacle de la carte SIM, en charge de la transmission des données), est une pile lithium qui peut alimenter le LHC pendant plus de 10 ans à un rythme d’une mesure par heure et d’une transmission de données par semaine.
La durée de vie du LHM est encore plus longue, car elle n’a pas la consommation d’énergie liée à la communication : on peut atteindre les 15 ans d’autonomie.
La pile lithium du LHC/LHM est amovible : montée sur scratch, elle peut être remplacée très facilement.
Les informations transmises par le LHC sont le niveau et la température. Ces données servent souvent à alimenter des modèles (des modèles de prévision de niveau de nappes, de montées des eaux en rivières…), et, de plus en plus souvent, à constituer des outils de supervision « en direct ».
Par exemple, nous avons un client : l’établissement public du marais Poitevin (EPMP), qui utilise un superviseur pour centraliser un grand parc de points de mesures. Ces points de mesure enregistrent des données qui sont reportées sur une courbe « en direct » (selon un intervalle déterminé). S’il y a une marée importante ou de gros orages, l’EPMP peut consulter la donnée en direct et la transmettre à qui ils le souhaitent (les sapeurs-pompiers, la DREAL…).
Le LHC possède plusieurs protocoles d’envoi des données. Le protocole le plus courant est l’exportation sur un FTP (serveur hébergé chez le client ou chez nous, référencé avec un IP, un port et un login). Une exportation par SMS est également possible ; ce protocole est aussi utilisé pour l’envoi d’alertes. Enfin, le LHC peut aussi envoyer les informations via le protocole MQTT (lié aux technologies embarquées : smartphones…).
Le LHC et la SFP ont été développés à la base pour des forages, et ont donc de très grandes pleines échelles (soit la différence entre le minimum et le maximum mesurable). Certains forages descendent jusqu’à 150 m de profondeur, nous avons donc conçu la sonde SFP pour lui permettre d’atteindre cette pleine échelle ; à part la sonde MPXF, nos autres sondes n’atteignent pas des valeurs aussi importantes (nos sondes ont, en moyenne, une pleine échelle de 10 à 30 m).
Le câble de la SFP est fourni au mètre : nous avons fait le choix de ne pas nous baser sur des longueurs standard (10, 15, 25 m par exemple) afin de nous adapter au mieux à chaque configuration.
Le data-logger LHC possède une précision de 0.05% de la pleine échelle. C’est une marge d’erreur très restreinte (de l’échelle du millimètre), ce qui assure une mesure particulièrement précise. La majorité du temps, ce niveau de confiance dépasse largement le besoin client : lors de la surveillance du niveau d’une nappe phréatique ou d’une rivière, la gestion d’une inondation ou d’un étiage ne se joue généralement pas à 1 mm d’eau près. Cependant, si vous avez besoin d’une précision aussi importante, le couple LHC-SFP répondra à vos attentes.
Le LHC et la SFP sont garantis 2 ans, y compris les risques de foudre* : si la sonde vient à défaillir dans les 2 ans, et que l’équipe SAV détermine que la défaillance est due à un choc de foudre ou à une infiltration d’eau, le produit est remplacé immédiatement.
En revanche, s’il est déterminé que le produit a subi une mauvaise utilisation (coupure sur le câble, détériorations dues à une chute, coque mal refermée…), la garantie est caduque mais une réparation reste envisageable (sur diagnostic gratuit).
*l’installation ne comporte que le LHC, le câble et la sonde SFP : il n’est pas nécessaire d’ajouter un parafoudre Paratronic pour bénéficier de la garantie foudre.
L’usinage des corps en inox est sous-traité à un prestataire dans l’Ain (France). Tout le reste de la production du LHC et de la SFP est réalisé à la main, dans notre usine PARATRONIC à Reyrieux.
Notre FAQ n’a pas répondu à toutes vos questions ? N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.
Paratronic
Zone Industrielle Rue des genêts
01600 REYRIEUX
T : +33(0) 4 74 00 12 70
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